Je ne sais plus où j’avais entendu parler du kiwano, mais une plante qui produit des fruits au goût de banane et kiwi, il fallait absolument que j’essaye. J’avoue avoir été beaucoup amusé par sa forme rigolote façon poisson-globe 🐡. Alors bien évidemment, j’ai commandé des graines sur le net…
En remontant au galop la Seine, il a été pour moi le clou du spectacle de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, Zeus a depuis rejoint une écurie digne de lui en investissant la cour intérieure de la Mairie de Paris. Et quoi de mieux qu'une pause déjeuner sous la pluie pour lui rendre visite. Idéal pour se remettre dans le mood de la cérémonie d'ouverture (huhuhu ! 🌧️) et surtout espérer que le temps pluvieux dissuade une foule de visiteurs...
J’ai cherché pendant plus d'une plombe une traduction correcte à l’expression idiomatique « Eat your heart out ! ». Je reste bloqué sur « Crache/vomis ta jalousie ! » ou encore « Étrangle-toi avec ta jalousie ! ». J’essaye de trouver mieux avec une image du cœur, mais rien qui me plaise vraiment pour le moment…
Ça m’agaaaaaace !
Si tu as une piste, merci… 😘
[Edit du 27/08 : « Rumine ton haut-le-cœur » ? On a l’idée de la bouche avec le verbe ruminer et la présence du cœur dans le reste de l’expression. Mais bon, c’est plus une colère qu’une jalousie qu’on rumine. Alors je cherche toujours…]
#LesBonnesCopines qui font des remarques limites perfides sur le côté copieux de mes repas…
Les mêmes bonnes copines qui, le jour du repas en question, apportent un (néanmoins délicieux) clafoutis aux abricots pour le goûter (soit après ledit repas trop copieux) et qui le dévorent…
🤪
Hugh Jackman a reçu en cadeau de fin de tournage du premier X-men un sac avec tous les rushes coupés au montage où Wolverine apparaît nu en full frontal. 🥵
Votre mission est de mettre la main sur un de ces rushes et de me l’offrir à Noël prochain… À défaut, l’original fera l’affaire.
D’avance, merci. 🙏
Ah bah ça alors ! Moi qui pensais tout connaître de ma mère, j’en apprends encore !
Maman a fait principalement toute sa carrière en dirigeant le laboratoire de contrôle qualité au Comptoir Lyon-Alemand-Louyot, un grand métallurgiste français. Et je savais que pour en arriver là, elle avait eu un diplôme de Chimie. Une matière qu’elle affectionnait particulièrement, et pour laquelle, à son grand désespoir, je n’avais absolument aucun intérêt. Je dis « à son grand désespoir », mais la vérité est que rapidement elle s’en était amusée : « Heureusement que je t’ai mis au monde, parce que je pourrais douter que tu es vraiment mon fils ! 😁 ».
Les vacances sont terminées et je suis de retour dans mon 18ème arrondissement parisien.
Grand ciel bleu pour ce sursis de 48 heures et l’intention d’en profiter autant que possible.
Quand nous sommes arrivés dans cette maison en 2018, j’ai immédiatement repiqué au pied d’un pilier de la pergola Éléonore La Passiflore qui poussait dans un pot de la véranda de la maison précédente. Elle a apprécié l’endroit et s’est mise à courir le long de la palissade jusque dans la haie vers le cabanon de l’autre côté du jardin…
Et puis, au sortir de l’hiver dernier, elle a décidé de ne pas repartir. Il a fallu se faire une raison, Éléonore était morte ☠️
Et puis nous avons vu apparaître dans la haie et grimper sur le cabanon quelques lianes qui ont fini par faire des fleurs.
Éléonore avait fait de nombreuses ramifications avant de rendre l’âme.
Il y a bien longtemps que j’ai arrêté de bloguer des critiques de films/séries/romans/musiques. En plus de trouver la chose inutile, le côté péremptoire de l’exercice où l’auteur pense détenir une vérité absolue me dérange dès lors qu’il s’agit d’observer un objet culturel. Il ne peut y avoir que l’expression subjective d’un ressenti, alors pourquoi vouloir en faire quelque chose d’universel qui recevrait l’approbation d’autrui ? 🤔
Bref. Ceci étant dit, je vais faire une exception. Parce que j’ai vu Fellow Travelers dimanche dernier et que je ne m’attendais pas à le bingewatcher en une après-midi/soirée. Parce que son contenu m’a ému comme je ne l’ai pas été devant une histoire lgbt depuis un bon moment. Parce que cette série est fondamentale en ce qui concerne notre histoire commune à tou⸱te⸱s. Parce que je la range immédiatement dans le panthéon lgbt de ma médiathèque aux côtés de titres comme Torch Song Trilogy, The Normal Heart, Harvey Milk, Queer as Folk, Philadelphia, Pose, Angels in America, Bound, It's a Sin ou encore When We Rise et 120 Battements par Minute (liste non exhaustive…). Le minimum syndical des trucs que tu dois avoir vu au moins une fois si tu ne veux pas perdre des points sur ta carte de pédé…
Essayons donc de rester un minimum factuel.
Fellow Travelers est une mini-série US de 8 épisodes d’une heure, scénarisée par Ron Nyswaner (oscar pour le scénario de Philadelphia) et inspirée du roman éponyme de Thomas Mallon. Sa première diffusion a eu lieu entre octobre et décembre 2023 sur Showtime et Paramount+. En France, elle est actuellement disponible sur Canal+ ou Prime Vidéo via le pass Paramount+.
Fellow Travelers retrace la love story de Hawk (Matt Bomer) et Tim (Jonathan Bailey) depuis les années 1950 jusqu’à la fin des années 1980. Leurs chemins se croisent pour la première fois en pleine période McCarthy (qui en plus de la chasse aux sorcières contre les communistes organisait en parallèle la Lavender Scare/Peur Lavande, une violente répression contre les homosexuels) pour se séparer 30 ans plus tard avec les années Sida… Et entre deux ? Les hauts et les bas de la vie… et de l’Histoire. Et si les personnages de Hawk et Tim sont complètement fictifs, les faits du contexte historique, eux, sont bien réels.