dimanche 21 avril 2024

La salopette verte

Maman, au premier plan, moi souriant regardant l’objectif
Maman et moi dans un bus en Espagne 🚌🇪🇸

Mon père arrive encore à trouver des photos de moi que je n’ai jamais vues. Ici, dans un bus en Espagne avec maman. J’ai 5 ans.

Lire la suite...

jeudi 18 avril 2024

En bref et en vrac #34

« Il ne faut pas mettre un miroir devant son lit. Parce que la nuit, tu expulses tes énergies négatives, et le miroir, lui, il te les renvoie pendant ton sommeil. »
Je me demande parfois si mon interlocuteur.ice arrive à lire sur mon visage toute la force que je déploie pour ne pas répondre... 🙄

Bianca del Rio faisant la moue

— J’ai jamais su dire si la Joconde sourit ou si elle se fout de notre gueule. Et bien, avec Yann, c’est pareil. 😁
— Ouais… enfin bon, à la différence de la Joconde, tu peux toujours me poser la question et je te dirai. 😇
— 😲

Je suis retombé sur ce tweet récemment 🏳️‍🌈🏳️‍⚧️ :

Tweet de Alexander Leon : "Queer people don't grow up as ourselves, we grow up playing a version of ourselves that sacrifices authenticity to minimise humiliation & prejudice..."

« Nous, personnes queers, ne grandissons pas en étant nous-mêmes. Nous grandissons en jouant une version de nous-mêmes qui sacrifie l'authenticité pour minimiser humiliations et préjugés. La lourde tâche de notre vie d'adulte consiste à séparer les parties de nous-mêmes qui sont vraiment nous de celles que nous avons créées pour nous protéger. »
(le fil complet est intéressant pour info...)

Tellement vrai que ça méritait une traduction. 👍
J'espère que les queers de demain liront ceci en se disant que les choses ont bien changé depuis et qu'ielles n'ont pas eu à passer par là. 🤞

Lire la suite...

samedi 13 avril 2024

La photographie sur le pont 🕵️

Photo de rue, avec un cadre accroché à un pilonne contenant la photographie d'un trio de personne dont deux sur un vélo.
Le mystère de la photographie sur le pont 🕵️

Sur un des piliers du pont de la rue Jean-François Lépine, un cadre en résine expose une photographie pour le moins singulière qui pique ma curiosité. À chaque fois que je passe dans le coin, je redoute qu'elle ait disparu ou été vandalisée. Ouf, ce matin, elle embellissait toujours ce pan de mur décrépit. Et encore une fois, mon cerveau s'est mis en branle pour imaginer l'histoire de ces 3 individus. Qui sont-iels ? Quel lien les unit ? Pourquoi cette situation ? Vous n'avez pas idée du nombre de scénarii que mon esprit fantaisiste a élaborés, du plus anodin au plus ubuesque... Outre, l'histoire de cette photo, je m'interroge également sur le pourquoi de son exposition à cet endroit précis. Même si la rue sur la photo semble correspondre au 18e arrondissement, il ne s'agit absolument pas de celle-ci. Là encore, j'hypothèse à volonté...

Lire la suite...

vendredi 12 avril 2024

Douceurs de l’Aïd 🤤

Enfin le week-end ! La matinée a été expédiée plus rapidement que prévu. Je rentre chez moi un peu sur les rotules tout de même, le sourire commercial épuise. J’avais prévu deux ou trois choses pour l’après-midi, mais je pense que je vais plutôt m’effondrer devant des séries dans le canapé. Je sors de l'ascenseur au septième étage et fourre la main dans ma besace pour en extirper les clefs de l’appart quand j’entends de l’autre côté de la porte des voisins un cri strident : « Mamaaaaaaan. Il est là. Mamaaaaaaaaaaaaan ! ». Je n’arrive pas à différencier la voix de l’aîné de celle de son cadet. Cinq minutes plus tard, on sonne à ma porte. La voisine me salue, derrière elle, son « grand ». Elle a un grand plateau dans les mains avec une montagne de spécialités orientales.

Deux pâtisseries du Maghreb dans une assiette bleue
🤤 Pâtisseries du Maghreb 😋

Lire la suite...

mardi 9 avril 2024

Le silence des pantoufles 🤐

Il ne se passe pas une visite chez #MonPèreCeGaucho sans sa revue d’actualités politiques hebdomadaire. Et si c’est une semaine où je suis dans le Sud, celle-ci se fait au téléphone. J’imagine que beaucoup pourraient trouver ça un peu lourdingue (surtout si les opinions du paternel en question divergent sauvagement des siennes), moi, ces conversations me rassurent. Elles me permettent de jauger autant l’état de son moral que celui du fonctionnement de sa caboche. À bientôt 80 ans, s’il y a fougue et passion dans son propos, c’est que les voyants sont au vert. Et pour ce qui est du fonctionnement, ses analyses me laissent penser que sa carte-mère cérébrale tient encore la route.
À chacun ses thermomètres.

Comme j’étais chez lui, le week-end dernier, je vous fais part d’une partie de notre discussion…

Lire la suite...

- page 1 de 26