Pendant la marche des fiertĂ©s, un jeune homme, plutĂŽt grand, orientation sexuelle indĂ©finie, fait descendre de ses Ă©paules sa/une copine, toute frĂȘleâŠ
Moi (juste derriĂšre) : Ok, maintenant, Ă mon tourâŠ
Lui : đ Non ! Ăa va aller⊠đ€Ł
Elle : đ€Ł Et tu veux pas monter sur les miennes ?
Moi : Ma pauvre, je te tue si je monte sur tes Ă©paules ! đ
Nous 3 : đ€Łđđ€Ł
(âŠ)
Lui : Et jâadore tes ongles⊠Regarde les miensâŠ
La scĂšne sâest achevĂ©e par une photo immortalisant nos manucures respectivesâŠMaBonneCopine, qui a assistĂ© Ă la scĂšne : đ Tâes pas sortable !
En regardant Ă nouveau cette photo, je constate aujourdâhui que nous avons la mĂȘme bague, Ă la seule diffĂ©rence que la mienne est bleue !!! Quelle coĂŻncidence !!! đ€Żđ
Jâadore ce genre de petits moments lĂ©gers de la vie.
JâespĂšre ne jamais perdre cette capacitĂ© de plaisanter avec de purs inconnus⊠On mâa dit une fois que je ne pouvais mâempĂȘcher « dâamuser la galerie ». En fait, je crois que jâessaye seulement de me rendre la vie supportableâŠ
Câest con que RĂ©gine soit morteâŠ
On aurait pu jouer à « Régine, Nathalie Saint-Cricq, ou les deux ! »
Qui sĂšme le vent⊠On ne reçoit que le respect quâon donneâŠ
Les rĂ©ponses reçues Ă la lettre aux français de Macron sont assez impitoyables. Pour quelquâun qui a lâhabitude de toujours prendre la parole, le simple choix de la lettre faisait un peu « aprĂšs 3 dĂ©faites, jâai trop la honte et les nerfs pour vous parler ». Bref, câest aussi classe quâune lettre de rupture sur un post-it.
Je nâavais jamais remarquĂ©, mais depuis, tous les tweets de Macron subissent une palanquĂ©e de rĂ©ponses plus ou moins vertes, plus ou moins polies, condamnant son attitude.
Nous avons un prĂ©sident dont la parole nâest plus audible. AveuglĂ©ment portĂ© aux nues par ses fidĂšles et conspuĂ© du reste de la population⊠En France comme Ă lâinternationalâŠ
Comme un Trump mais français. đ€Ą