Retour à la Pointe Tarare…
Plus connue sous le nom de l’Anse Cul-nu ou Criqueue-à-l’air, une des rares, si ce n’est la seule plage naturiste de Grande-Terre.
Parmi mes promenades préférées sur l’aile Est du papillon guadeloupéen, on trouve les falaises du Grand Nord et leurs plages de sables blonds sur la mer des Caraïbes, en suivant la Trace des Pêcheurs (en sens inverse parce que la vie est trop courte pour faire les choses dans le bon sens).
Le circuit commence par la Pointe d’Enfer et son célèbre Trou a Mam Coco dont j’ai probablement raconté dix fois la légende… Je vais essayer de ne pas radoter ce coup-ci…
Octobre, le mois où on doit faire le deuil des tomates bien rouges et bien juteuses dans l’assiette. C’est aussi le mois où je croise les doigts pour en avoir suffisamment qui ont refusé de mûrir dans le potager afin de préparer ma confiture préférée : celle de tomates vertes. Pour reprendre une expression de mon grand-père : je pourrais en manger sur la tête d’un pouilleux.
Je me lamentais le week-end dernier d’en avoir seulement cinq à disposition, mais aujourd’hui, Marie, la femme de ménage de mon homme, est venue m’en apporter une pleine cagette du jardin de sa sœur. 6 kilos ! C’est l’anniversaire de mon homme et c’est moi qui ai un cadeau. J’adore ! 🥳🎁
400 hectares de sable qui donnent au sud de Gran Canaria un air de Sahara tout à fait envoûtant. J’ai eu Salma Ya Salama de Dalida dans la tête toute la journée !
Quand j’ai su que nous allions à Gran Canaria, j’ai cherché sur le net ce qu’il y avait à voir dans la capitale Las Palmas et je suis tombé sur l’Aquarium Poema del Mar. Les éloges des visiteurs ainsi que les certifications des organismes protecteurs de la vie animale ont motivé mon intérêt. Et c’est par lui que j’ai commencé ma visite de la ville… Je ne pouvais espérer plus belle introduction… 🤩
Deux mois sont déjà passés depuis que je suis revenu de ce voyage en Inde. C'est le temps qu'il m'aura fallu pour trier, classer les 1184 photos prises sur ces 15 jours, puis de sélectionner mes préférées, de les organiser en un album, d'écrire quelques textes pour les accompagner et de mettre tout cela en page...
Ce carnet de voyage, intitulé « Heures Hindoues » et composé de 80 pages au format panorama (27 x 20,5 cm), est arrivé tout chaud de chez l'imprimeur ce matin.
Je confesse un petit pincement nostalgique en le feuilletant...
Sans être un pro de la photo, j'aime bien taquiner le déclencheur du reflex. On va dire que je jette la plus grande partie des clichés, et que j'ai l'indulgence d'en conserver quelques-uns. J'en montre certains, sans prétention aucune, et là encore, je suis magnanime.
Un jour, on m'a dit "Très belle photo, elle aurait mérité d'être en noir et blanc".
Ça m'a amusé. Comme si le noir et blanc était l'apanage de la qualité.
Il a une croûte en cuir, des pages en coton et une lanière pour le fermer.
Il y avait longtemps que j'avais envie de rassembler dans un album les "plus belles" photos de mes voyages, en tout cas, celles qui me touchent. Après une interminable sélection dans mes archives et quelques heures à fixer les photos sur les pages, c'est chose faite.
Les six séjours à New York, Madrid, Venise, Bangkok, Chiang Mai et Ko Samet, le Sénégal, San Francisco, la République Dominicaine, Glasgow, la Guadeloupe, la Mer Rouge...
Il reste de la place pour Malaga et Prague...
Et peut-être un jour prochain le Japon, l'Australie, l'Inde, le Mexique...